De Paris à la péninsule de Snæfellsnes

De Paris à la péninsule de Snæfellsnes

11 juin 2016 0 Par Guillaume

J1

Après des retrouvailles à l’aéroport de CDG, la vérification que tout le monde à bien emmené sa carte d’identité, nous partons pour l’Islande. Le voyage de 2 semaines a été planifié 6 mois plus tôt. Ça s’annonce un beau voyage familial 🙂

Atterri à l’aéroport de Keflavik, nous attendons 1h la navette qui doit nous conduire à notre 4WD loué chez IceRental4wd. Le contact avec le loueur se passe bien. Le véhicule a certainement fait plusieurs fois le tour de l’Islande mais on l’adopte. Il s’appellera bientôt fly destroyer mais je l’expliquerai plus tard. Le coffre est blindé de sac, les 5 places sont occupées.

En route pour Stykkishólmur sur la péninsule de Snæfellsnes (Ouest) ou nous logeons les 2 premières nuits.

Après avoir fait quelques courses, nous nous arrêtons pour faire la randonnée de la cascade de Glymur. La montée démarre avec la traversée du cours d’eau sur une poutre. C’est assez fun et pas difficile.

Le cadre est super joli malgré un temps couvert et de nombreux randonneurs. La cascade est encaissée entre 2 falaises abruptes. Les points de vue  sur la cascade sont nombreux sur le côté droit en montant. De nombreux oiseaux nichent  sur les flancs de la falaise.

En haut de la cascade, nous décidons de traverser la rivière pied nu (pour s’entrainer :)). La descente de l’autre côté de la cascade offre un beau point de vue sur le fjord.

Nous prenons notre première bière au musée de la colonisation de Borgarnes. Le lieu est sympa. A mesure que nous continuons la route, les paysages changent. Nous longeons la cote sud de la péninsule entre la montagne à droite et la mer à gauche.

Nous avons prévu de découvrir la péninsule le lendemain donc nous la traverserons pour aller directement à Stykkishólmur.

Au bord de la route nous découvrons nos premiers paysages volcaniques avec cet immense champ de lave et ce que nous avons considéré être des cratères ou des volcans. Nous arrivons vers 20h à Holmur In. Avec le décalage horaire, nous commençons à être fatigué. Nous sommes en juin, la nuit ne se couchera pas.

Notre itinéraire :